22 juillet 2010

Danielle Rouaix vous informe !

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Dimanche 1er Août, 16H30 : Abbaye de Leoncel

Mercredi 4 Août, 18H30 : Église de Saillans

 REQUIEM Théodore Gouvy
PSAUME 130 Charles Gounod

 Orchestre et choeurs
De Haute Souabe
Direction : Berthold Büchele

Participation de la Chorale des Deux Vallées
Clavier : Jean Marc BOUILLET
12 euros - Gratuit pour les - de 16 ans

Si vous passez près de la Drôme début Août, n'hésitez surtout pas : vaut le détour !



La Cour d'Honneur, à domicile.

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Papperlapapp au Palais des Papes.



Plein écran, régler le son, 2h10mn. 


Filmé le 17/07/2010 à Cour d'honneur du Palais des papes. 
  • Artistes : Marc Bodnar, Raphaël Clamer, Bendix Dethleffsen, Evelyne Didi, Olivia Grigolli, Rosemary Hardy, Ueli Jäggi, Jürg Kienberger, Bernhard Landau, Sasha Rau, Martin Schütz, Clemens Sienknecht, Bettina Stucky, Graham Valentine, Jeroen Willems
  • Mise en scène : Christoph Marthaler / Scénographie : Anna Viebrock
  • Décors : Costumes : Sarah Schittek
  • Production : La Compagnie des Indes
  •  Dramaturgie : Malte Ubenauf / Direction musicale : Rosemary Hardy / Lumière : Phoenix (Andreas Hofer)

C'est d'un conflit politique et religieux entre le roi de France Philippe le Bel et le pape Boniface VIII qu'est née l'histoire de la papauté avignonnaise. Le Palais des Papes en témoigne aujourd'hui : Christoph Marthaler, Anna Viebrock et leurs compagnons investissent sa célèbre Cour d'honneur, sept cent un ans après l'installation des papes en France.

Ce spectacle, créé pour et avec la Cour, ne sera présenté qu'au Festival. Curieux de ce lieu, curieux de son architecture et de son passé, le metteur en scène a cherché ce que son théâtre musical pouvait exprimer en s'intéressant à ce palais labyrinthique et à ceux qui l'ont traversé.

Questionnant l'histoire morcelée que nous racontent les livres, traversant la littérature, la musique et la philosophie, Christoph Marthaler posera son regard de poète sur le caractère illusoire de la vérité, dans cette nouvelle création au titre énigmatique, expression allemande désuète que l'on pourrait traduire par « blablabla » ou « et puis quoi encore ! ».
 
Photo : Christophe Raynaud de Lage.

09 juillet 2010

Aix-en-provence 2010

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Le retour d'Olga Peratyatko (Le Rossignol).  

Le Rossignol et autres fables au Festival d'Aix-en-Provence.




154 minutes. Regarder en Plein Écran. Utiliser les repères pour sauter mise en place et entracte.

Filmé le 07/07/2010 à Grand Théâtre de Provence
  • Artistes : Olga Peretyatko (Le Rossignol) , Elena Semenova (la Cuisinière), Marijana Mijanovic (la Mort), Edgaras Montvidas (le Pêcheur), Ilya Bannik (l'Empereur de Chine), Yuri Vorobiev (le Bonze), Nabil Suliman (Le Chambellan) / Direction musicale : Kazushi Ono (Orchestre de l'Opéra national de Lyon) / Chef de choeur : Alan Woodbridge (Choeur de l'Opéra national de Lyon)
  • Réalisateur : Chloé Perlemuter
  • Mise en scène : Robert Lepage
  • Décors : Carl Fillion (Scénographie), Mara Gottler (Costumes, perruques et maquillage), Martin Genest (Chorégraphie des marionnettes), Michael Curry (Conception des marionnettes), Philippe Beau (Conception des ombres chinoises), Étienne Boucher (Lumières)
  • Ecriture / Compositeurs : Livret d'Igor Stravinsky et Stephan Mitousov d'après Hans Christian Andersen
  • Cadreurs : Sylvain Pieri, Pierre-Hubert Martin, Régis Le Mao, Philippe Jourdain, Etienne Monier
  • Son : Jean Chatauret, Freddy Fages
  • Production : Bel Air / Festival d'Aix-en-Provence
  •  Philippe Engel (Musicien metteur en onde), Yves Rousseau (Conseillier musical), Ned Burgess (Directeur de la photographie), Jocelyne Rivière (Scripte)

Description

Inspiré d'un conte d'Andersen qui oppose l'oiseau enchanteur à un froid automate, ce Rossignol aurait bien pu être une oeuvre de jeunesse de Stravinsky. C'est le premier opéra auquel le compositeur s'attelle, mais après avoir composé un acte sous l'influence scintillante de son maître Rimski-Korsakov, Stravinsky s'interrompt en 1909 afin d'écrire pour les Ballets russes des partitions qui vont faire sa gloire. Ce n'est que cinq ans plus tard qu'il reprend et achève, dans un style mûri par l'expérience, cet opéra-féérie qui demeure un joyau atypique.

Ce dernier est présenté au Festival d'Aix-en-Provence dans un spectacle lui-même exceptionnel de poésie simple et de magie théâtrale : le canadien Robert Lepage y remet au goût du jour des techniques ancestrales comme les ombres chinoises ou les marionnettes aquatiques. Le metteur en scène, qui a fait ses classes du côté de Shakespeare et collaboré avec le Cirque su Soleil, a déjà présenté sa vision de Stravinsky à Toronto et enchainera avec Wagner au MET de New York.