29 décembre 2007

Bonne Année et Folle Journée 2008 !

Très heureuse Année, très folle Journée 2008 !!!

Pas le temps de souffler, rangeons foies gras dindes et saumons, Schubert arrive déjà, Grüss Gott Franz.
Pour commencer il faut bien sûr cliquer sur le titre, mais c'est de la routine por vous !

Vous avez certainement tout reçu par la poste, mais, juste au cas ou... vous pouvez télécharger ci-contre : Programme , Dépliant , Tarifs.



"Au XVIIIe siècle, Vienne est la capitale européenne de la musique...

... et voit naître une succession impressionnante de grands noms de l’histoire de la musique: Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert... Des musiciens de cette époque ayant passé une grande partie de leur vie à Vienne, Schubert est le seul à y être à la fois né et mort, sans presque jamais quitter cette ville.

Parfait symbole du "voyageur" romantique ("Wanderer"), tant par sa vie que par son oeuvre, Schubert est aussi le dernier représentant d’un certain classicisme viennois. Successeur de Haydn et Mozart, admirateur de Beethoven qui représente l’idéal inaccessible, Schubert n’en sera pas moins un novateur. Il a déjà écrit ses treize premiers quatuors et ses huit premières symphonies avant que la Neuvième Symphonie de Beethoven ne soit créée à Vienne en 1824.



Opus 100.1, allegro-1
Un roi de la musique.

Libre de toutes contraintes, il bouscule les formes musicales, avec le lied par exemple, où s’épanouira en premier son génie créateur. Il devient l’égal des maîtres qu’il vénère (Goethe, Schiller, Heine) par le pouvoir de sa musique et est l’inspirateur d’un groupe amical et culturel qui se nourrit de lui au point de prendre son nom pour enseigne de ses réunions régulières - les "Schubertiades".

Mais au début du XIXe siècle, après la chute de Napoléon, Vienne devient le siège d’un congrès européen, le Congrès de Vienne (1814-1815), qui est accompagné de fêtes et de réceptions brillantes. Vienne, la ville qui danse, est alors livrée à la fièvre italienne : succès croissant de l’opéra italien et engouement des Viennois pour Rossini.



Franz Schubert par Wilhelm August Rieder
A Vienne, le vrai roi de la musique sera bientôt Johann Strauss. Deux univers musicaux cohabitent : l’un brillant et officiel en surface, l’autre souterrain et souvent désespéré, auquel Schubert et son groupe appartiennent. Schubert n’aura de cesse, dans ses dernières années, de réclamer le droit d’exister. Il meurt en 1828 à l’âge de 31 ans, un an seulement après Beethoven, laissant un catalogue considérable de plus de 1000 oeuvres.



Manuscrit autographe de l'octuor D.803
Schubert est certainement l’un des compositeurs ayant le plus influencé les générations suivantes. On ne compte plus les transcriptions de ses oeuvres qui ont été effectuées aux XIX et XXe siècles et ses oeuvres continuent d’inspirer les compositeurs d’aujourd’hui.

C’est pourquoi, et pour la première fois dans l’histoire de La Folle Journée, trois compositeurs ont été invités à écrire une oeuvre d’après une pièce précise de Schubert ou dans l’esprit du grand musicien viennois : les Japonais Dai Fujikura, Toshio Hosokawa et le Français Bruno Mantovani ont accepté l’invitation. "



Julius Schmid : Schubertiade.

Pour vous, qui avez eu le courage de tout lire, voici une "schubertiade", concert virtuel avec quelques interprètes que René Martin n'a pas pu réunir, malgré son immense talent.




Et pour finir quelques rafraîchissements : Les Amis de Schubert , Franz sur Wikipédia .

Pour réserver vos places sur internet le Dimanche 6 Janvier à partir de 10:00 précisement : cliquez ici .

Bonne résolution 2008 : cette année on s'organise pour ne pas se laisser surprendre !!!



08 décembre 2007

Danièle Avent !



Note avec Notes.

Chers Amis de la Connaissance,
pour vous j’espère que cette année se termine avec des notes gaies.

Je profite d’une fin de grippe qui me bloque à la maison pour souhaiter un bon Noël aux amis car, après, les petits concerts et réunions de fin d’année vont se bousculer.

Que 2008 donne aux choristes des voix « angéliques » et des chants de douceur…

Bisous de l’Avent,
Danielle (et Jacques).